A cette heure ci, je me demande pourquoi je persiste. Pourquoi nous persistons. Après tout, cela ne sert à rien. Vivre est pénible. C'est un fardeau.
On ne choisit pas de vivre, on nous l'impose. (les cultivés reconnaitront peut être cette simili-citation. Sinon, tant pis...)
Libre à nous d'y prendre gout ou pas...
Toute cette laborieuse reflexion pour...Pas grand chose. Je vous avais prévenu non?
Juste qu'en cette heure-ci, la solitude m'apparait comme une chose Vraiment horrible. Pourquoi? Je ne sais pas. Parce que ma solitude enfouie en moi ressurgit, tel un monstre de sous le lit?
Paradoxal non? En journée, je m'en contrefous presque...Presque, car au final, ce n'est qu'une masque, si à la nuit tombée, j'en ai peur. Comme c'est inintéressant.
Suis-je seul? Sommes nous seuls?
Je n'ai pas de réponses à fournir. Parce que...Parce que c'est ainsi. Parce que je suis fatigué. Parce que mon cerveau fonctionne peu. Parce que je ne veux pas connaitre la réponse. Je vous souhaite une bonne nuit, emplis de rêves dans lesquels tout se passe bien dans le meilleur des mondes possibles.
Et voila...Un deuxieme article pitoyable, dictée par la mélancolie et la fatigue.
Connaissez vous Giorgio De Chirico?
Les relations amicales, en couples ? . . .
Bien sur que j'y crois.
Mais au fond, tout n'est pas voué à disparaître avec le temps, et notre avenir inexorable qui est la mort ?
Pourquoi se prendre la tête.
Vivons dans les illusions.
"Life is a lie, hapyness is a lie.... Liying is freedom" [What a "subarashii" auto-quotation, isn't it ?]