Mardi 20 juillet 2010 à 18:48

 C'est dur.
                  Dur de l'accepter.
                                                Dur de se retenir de crier que oui, quelque chose ne vas pas. 


Que même vos rêves vous rappellent sans cesse la même chose. 
Si ce n'est pire.


Alors oui.

                  Oui, ce n'est pas vraiment original de ressentir cela.






Le manque, c'est extrêmement banal comme sensation.
Mais....



Qu'est ce que ça fait mal...
Je sais que c'est mieux. 
Qu'il fallait le faire.
 
Mais n'empêche...
C'est douloureux.


Je n'ai envie de rien alors que j'ai tant à faire.
De toute façon, autant attendre. Il me suffit de....

 
M'occuper l'esprit. Me retenir. Ne pas céder au désarroi. 




















Rester fort.
Dans le calme...
...comme dans la tempête.

Pardon. Mille fois pardon. Je n'y suis pas arrivé.





















Extrait des codes Sith:

    La paix n'est que mensonge.
    Il n'y a que la passion.
    Par ma passion, j'obtiens la puissance.
    Par ma puissance, j'obtiens le pouvoir.
    Par mon pouvoir, j'obtiens la victoire.
    Par mes victoires, mes chaînes se brisent.
    La Force me libérera.
    Il n'y a pas de paix, il y a la colère.
    Il n'y a pas de peur, il y a la puissance.
    Il n'y a pas de mort, il y a l'immortalité.
    Il n'y a pas de faiblesse, il y a le côté obscur.
    Je suis le cœur de l'Obscurité.
    Je ne connais pas la peur, mais je l'instille à mes ennemis.
    Je suis le destructeur des mondes.
    Je connais le pouvoir du côté obscur.
    Tout l'univers se prosterne devant moi.
    Je m'engage dans les ténèbres où j'ai trouvé la vraie vie
    Dans la mort de la lumière.


http://paranoid.truth.cowblog.fr/images/firstone.jpg

Encore merci pour ce cadeau sublime.








Code sith selon Darth Bane :

    La passion me confère la force,
    La force me confère la puissance,
    La puissance me confère le pouvoir,
    Le pouvoir me confère la victoire,
    Et la victoire me libère de mes chaînes. 
 
 
Darth Rivan

Il n'y a pas de passion... il n'y a que l'obsession.
Il n'y a pas de connaissance. Il n'y a que la conviction.
Il n'y a pas de but. Il n'y a que la volonté. 
Il n'y a rien...
A part moi.
 
 
 








Il y a deux coloris, souvenez vous en.

Dimanche 18 juillet 2010 à 23:06

Il était une fois... Non. Ce n'est pas un conte. Comment commencer? Ahlalala... Le commencement... La fin... Bref.

Imaginez que... Vous vivez, tranquillement. Vous voyez? Tout va pour le mieux. Rien n'est horrible. Vous vivez votre vie, vous êtes heureux.

Et un jour... Boum! Vous oubliez d'éteindre le gaz, votre maison explose, et vous avec. Vous mourrez. Cependant... Si vous aviez bien fermé le gaz, vous seriez encore en vie non? Par conséquent, dans une dimension, vous êtes encore en vie. Et, sans même vous en rendre compte, votre existence se trouve transposée dans la dimension dans laquelle vous avez bel et bien fermé le gaz.

En somme, vous êtes déjà mort. Mais vous ne le savez pas, car à chaque mort, vous vous réveillez immédiatement dans la dimension dans laquelle vous n'êtes pas mort.

Et il en va ainsi à chaque fois que vous êtes exposés à un choix dangereux. Vous est il déjà arrivé de vous dire
"Un peu plus, et ça se finissait vraiment mal"? 

Et bien, en réalité, cela c'est mal passé. Mais vous n'avez pas eu le temps de vous en rendre compte, parce que votre être a été en quelque sorte, transposé dans la dimension dans laquelle il ne s'est rien passé de grave.

En somme, quoiqu'il arrive, vous continuez d'exister. Sans interruption.


Voila. C'est une simple idée qu'il me fallait formuler. Bonne soirée. Pas d'images.


Dimanche 16 mai 2010 à 22:53

Mon rythme d'écriture fait peur à voir n'est ce pas?

A peu près... Oh, et puis, qui s'en soucie? Qui d'autre que moi lis réellement ces articles? 2 personnes? 3 peut être? Je n'en sais rien du tout.

Bref.


Naturellement, je viens car je me suis posé quelques questions...

Tout d'abord, jusqu'à quel point doit on tenir ses promesses?
Personnellement, je suis pour le fait de tenir une promesse coûte que coûte, quand bien même celle ci s'en trouve légèrement déformé par certaines... péripéties...
Il FAUT tenir ses promesses. Aussi horribles, dures, stupides sont elles. C'est un point de vue simpliste n'est ce pas? Pourtant... C'est quelque chose de si compliqué à faire en pratique.

Car après tout, qu'est ce qui distingue un gros con d'un être passablement sympathique? Le fait qu'il tienne ses promesses.

C'est en cela que je me sens de plus en plus basculer vers le syndrôme du gros con. Je ne tiens plus mes promesses. Ni celle que je me fais, ni celle que j'aimerais formuler...

Cela ne prend absolument pas la tournure que je souhaitais. C'est peut être pour cela que tout foire toujours. Je ne fais que dans l'approximation...

Je ne peux arriver à rien de cette façon. Et pourtant, il serait si simple de se dire "Allez hop! Fini les conneries, je fais tout bien maintenant".

Recommencer toutes mes anciennes activités plus sérieusement... Réussir...

Pourtant, je ne sais pas trop... Je vois plutôt ma vie actuelle comme une sorte de pause. Une pause avant que je ne reprenne/retrouve de l'énergie.

Mais je m'enfonce de plus en plus. Je me laisse aller. Petit à petit, je me dégoûte de plus en plus. Je la dégoûte.
Moi qui rêvais constamment de devenir quelqu'un de vraiment bien. Quelqu'un de fort, courageux...
Petit à petit, je me rends compte que je deviens l'opposé le plus total à cela.
Je perds de l'intérêt pour tout ce qui m'entoure. Et tout ce qui m'entoure se désintéresse de moi.
Je suis de plus en plus peureux, conformiste, aveugle...
Jamais je ne serais quelqu'un de courageux et fier. Quelqu'un d'honorable. Peut être devrais je simplement m'y résigner. Peut être devrais-je me résigner à tout abandonner. Ne plus rien faire. Ne plus penser. Encore moins.

Je ne sais pas où se situe l'étincelle qui transforme quelqu'un de bien en quelqu'un de fantastique. Par contre, je sais où se trouve la limite permettant de dire si une personne vaut le coup où non. Et petit à petit, je m'éloigne de plus en plus de cette limite que j'ai franchi sans m'en rendre compte.

Pour finir une petite citation d'Homer J. Simpson:
"Tu sais Lisa, pour Papa, le monde réel est de plus en plus vague de jour en jour." Saison 18, Episode

Dimanche 14 février 2010 à 3:01

Bonsoir.
Voyez comme il est tard.
Bref.
Les voyages a vélo en pleine nuits sont assez inquiétants.
Mais dangereusement intéressant.

Que vous dire?
Que ces temps ci, j'ai envie de tout abandonner moi aussi?
Considérer que plus rien n'a d'importance, s'enfuir, vivre des choses...
Comme si...
Comme si cette balade à vélo nocturne n'était qu'un avant gout.
Un avant gout de ce qui pourrait être ma vie future.
Une vie sombre, froide, courte?
Mais qui fait battre le coeur et asséche la salive.

Ah!
Riez.
Riez avec moi, de ce rêve puéril d'ado pas-fini.
Je vous propose de l'abattre.
Oui.
D'une bonne balle dans la tête.
Il cessera de se débattre, d'agoniser...http://paranoid.truth.cowblog.fr/images/pourblog.jpg
De hurler sans cesse qu'on lui laisse la vie sauve.
Allons... Ce sera un acte de charité.
Ainsi, la place sera laissé a un adulte.

Un VRAI.
Travailleur, sérieux, assidu, opportuniste ET lâche.
Un vrai Peureux.
Quelqu'un qui aurait peur de TOUT!
Se casser la gueule? Oh non surtout pas!
Se faire agresser, emmerder? Nenni nenni mes bons amis.
S'entendre relativement bien avec tout le monde,
Et n'être proche de rien.

Tout faire par HABITUDE, sans passion ni interêt.
Laisser les envies se faire remplacer par les regrets.
Ne plus avoir l'envie de se battre.

Devenir normal. Sans se poser trop de questions.
Réussir plus ou moins ce qu'il fait.
Le mythe de Pinocchio quoi.


C'est tout.

Allons, aidez moi.
Aidez moi à presser sur la détente.
Aidez moi une bonne fois pour toute.
A abattre l'une de ses deux visions.

S'il vous plaît.



Mercredi 9 décembre 2009 à 21:44

Bonjour. Sans préambule et tout de go, je vous propose un petit jeu intitulé: Ou-cé-ty-ki-di-pa-la-vérité. Si vous n'êtes point trop attardés, vous aurez compris qu'il faut trouver, dénicher, les contre-vérité se trouvant dans ce long texte barbant, afin de le purifier, le catharsiser. Oui, c'est pas français, mais presque.

Je ne me sens à ma place nulle part. Quoique je fasse, quoique je dise, c'est ininteressant, mal fait stupide. Je ne suis pas spécialement honni, banni... Simplement, je ne fais pas plaisir par ma présence. Je n'arrive à rien, et rien de ce que je fais ne mène à quelque chose. Ce n'est pas moi qui attirerait l'attention par mes brillantes capacités, ou mon potentiel prometteur. Je déçois, tout simplement. Et La Petite Voix d'ajouter "Comment peux tu décevoir? Ils ne te voient pas. Ils n'attendent rien de toi. Tu le sais, espèce de jeune face-de-blette."

Oui, elle insulte méchamment cette Petite Voix.

J'ai fini un livre aujourd'hui. "Quelle importance?" Songes-tu, ô jeune lecteur narquois. Et bien voila: C'était vraiment un très bon livre.
Un visage pour l'éternité de C.S Lewis. Et si vous êtes un peu subtil, vous constatez qu'il s'agit du même que celui ayant écrit "Les Chroniques de Narnia" (Pitoyablement adapté en film, mais passons.) C'est un petit livre sublime, traitant principalement  des dieux et de leurs relations avec les humains. Accessoirement, c'est aussi une relecture du mythe de Cupidon et Psyché. Pour ceux ayant des a priori, surtout vis a vis de Narnia, je vous rassure: C'est exceptionnellement bien écrit, bien pensé etc... Le personnage principal est crédible, l'histoire belle...

Bref. Sinon, que dire de plus? Que cette critique ne vaut pas un clou? Que de toute façon, je monologue face a mon clavier? C'est pour cela que je stoppe aussitôt, me permettant seulement de conclure par une image, qui vaut le détour:
http://elpollodetrescabezas.files.wordpress.com/2009/06/sun_wukong_the_monkey_king_by_ewkn1.jpg?w=473&h=661

voici le site d'origine: elpollodetrescabezas.wordpress.com/2009/06/11/

Grand merci d'avoir lu ma palabre.

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